Louise est sage-femme à Toulouse et anime depuis plusieurs mois des ateliers de self-help. J’étais très intéréssée par son point de vue, notamment sur sa façon de concilier son statut de soignante et son approche self-help.

Les personnes qui témoignent aujourd’hui ont su trouver un praticien.ne qui a accepté de leur poser un DIU. Pourtant, pour des raisons variables, elles ont ressenti le besoin ou l’envie d’en changer, et plus précisément encore, elles ont choisi de l’enlever seules.

Le spectacle ne dure qu’une heure mais réussit à balayer le sujet de façon assez exhaustive, des douleurs aux protections périodiques en passant par le syndrome pré-menstruel et les insultes et discriminations liées aux menstruations.

Aujourd’hui, si j’ai un casque sur mes oreilles dès que je passe la porte de chez moi et même pendant mes pauses déjeuner au boulot, ce n’est pas pour écouter de la musique mais des podcasts.

L’essai de Camille Emmanuelle est sorti au printemps entre Ceci est mon sang d’Élise Thiébaud et Le grand mystère de règles de Jack Parker. Il vient compléter cette trilogie de livres s’attaquant au sujet des règles en 2017.

Conçu comme un lieu d’échange entre les communautés geek et queer, le RESET est aussi un lieu d’accueil pour les femmes rebutées par le sexisme et le paternalisme des hackerspaces « traditionnels ».

Bien qu’ayant des règles raisonnablement abondantes, ces derniers mois je me suis souvent retrouvée à avoir des accidents : cup mal mise, tampon qui déborde, serviette mal placée… C’est la raison pour laquelle j’avais envie de tester les period panties, ces culottes pour règles qui agissent comme une protection périodique.

Même quand on s’appelle Kim Kardashian, tomber enceinte et mener une grossesse à terme ne s’achète pas.

On en parle peu, mais près de la moitié des produits d’une fécondation réussie ne mèneront pas à une grossesse.